Le Village de Coltines
On est allé à la ferme. A la
ferme il y a la soue à cochons, le pigeonnier, le toit en écailles
de poissons, le coyau qui sert à protéger les gens pour qu'il
ne leur tombe pas de la neige dessus.
Après on est allé voir le lou
ferradou qui sert à ferrer les bœufs quand ils vont dans les montagnes
pour la transhumance (c'est pour protéger leurs pattes).
Vers la fin, on est allé voir le four
à pain ; son toit était en lauze, à l'intérieur
du four c'était encore chaud et il y a longtemps, une fois par semaine
les habitants du village allaient au four à pain faire chauffer leur
pâte à pain.
A la fin, on est allé voir l'église
et le cimetière. L'église était en pierre volcanique
et elle était à moitié romane et gothique.
"La vie coltidienne"
|
En classe |
|
|
|
Quand nous
sommes arrivés à 13h45, nous avons vu que le centre s'appelait
« Chantarisa », et qu'il y avait une autre classe qui venait
de Saumur, d'une école privée nommée Sainte-Anne.
Ils étaient en CM1/CM2. Les animateurs étaient très
sympas ; ils s’appelaient Thierry, Marc, Jérôme et Sébastien.
Les garçons étaient dans 3 chambres, 2 de 5, une de 4.
Les filles étaient par chambres de 6 et de 7. Patrice était
tout seul. Céline et Laëtitia (la maman de Nolwenn) étaient
toutes les deux.
|
Le repas |
|
|
Le matin, le midi et le soir, on mangeait avec Sainte-Anne.
Pour le goûter ont était seul. Le matin, on sortait se
promener ou bien on allait en classe. L'après-midi on faisait
du ski de fond ou des raquettes. Après, le soir avant de manger,
on se douchait ou on allait en classe. Quand on avait fini, on avait
du temps libre pour lire, jouer, les garçons et un peu de filles
jouaient au baby-foot. Puis, on mangeait et on faisait les veillées.
On s'endormait vers 21 h 30.
Marion, Théo, Elisa
Volcanisme
C'est sur une planèze
que le village de Coltines a été construit. Le Stratovolcan
du Cantal s’est fondé à partir de petits volcans et
de coulées de lave. Après des millions d’années,
la lave a durci et est devenue des roches volcaniques, formant des plateaux
appelés « planèzes ».
Vaches salers
Les vaches de la
région s’appellent les vaches salers, elles sont très dures à traire, il faut
une façon particulière pour le faire : il faut attacher le veau à la patte de
sa mère, et mettre du sel sur le cou du veau, pour que sa mère le lèche et ne
s’occupe pas de nous. La vache salers a failli disparaître, mais elle a été
reconvertie en vache à viande. L’élevage est la principale activité économique
de la région.
L'ancien village
de Coltines et sa légende
Nous sommes allés
a l'ancien village de Coltines qui se trouve à environ un km du
village actuel. Malheureusement il ne reste que des pierres empilées
qui étaient autrefois des maisons. Jérôme et Thierry
nous ont raconté la légende de Coltines. Nous étions
divisés en deux groupes donc nous n'avons pas la même légende.
Voici la légende de Thierry :
La Jeannette habitait avec ses parents et son frère. Elle allait
bientôt se marier avec le Pierrot. Le jour du mariage la Jeannette
dit oui mais Pierrot dit non car il avait vu une fille et était
tombé sous son charme.
A la fin de la cérémonie la Jeannette partit. Son père
lui dit : Moi je croyais que tu allais partir chez Pierrot, mais comme
je n'ai plus d'argent pour nourrir tout le monde, alors il faut que tu
partes.
Elle partit.
Beaucoup plus tard, Pierrot vit avec sa femme et la Jeannette rencontra
quelqu'un. C'était une sorcière qui lui apprit des tours
de magie. Un jour, la sorcière dit à la Jeannette qu'elle
allait bientôt mourir. Alors elle lui donna un objet précieux
: le bouffadou. C'est un bout de bois avec un trou à chaque bout.
Quand la sorcière mourut, la Jeannette garda le bouffadou précieusement,
et un jour elle eut une idée pour se venger. Elle arriva au village,
souffla dans le bouffadou et elle contamina le village de la peste noire.
La seule survivante fut la femme de pierrot. La Jeannette lui dit : si
tu ne veux pas mourir de la peste noire, il faut que tu brûles tout
sur ton passage. La Jeannette disparut sur le coup. Et la femme de Pierrot
prit le bouffadou et souffla dedans, et mit le feu au village. Pour ne
pas qu'elle ait la peste noire elle s'en alla , et personne ne la revit
.
Après nous sommes rentrés à Chantarisa (notre centre).
Arthur, Anaïs, Cassandra
Veillée nocturne
|
Dessin Thierry Ballay |
Le jeudi 8 mars à 21h00 nous avons fait une veillée nocturne.
Il y avait deux groupes, un avec Marco et l'autre avec Sébastien.
Nous avons commencé par observer la grande ourse qui avait
une forme de casserole et nous avons vu Orion.
Après nous sommes allés a l'église pour aller
voir les chouettes chevêches et Marco faisait des bruits pour
attirer des chouettes (sifflements).
En rentant nous avons vus clignoter les éoliennes. C'est pour
que les avions ne les touchent pas.
Mathieu, Benjamin, Dorian, Kévin
Les sports de neige
|
"culing" |
|
Luge | | | | | |
|
Raquettes à neige |
|
Raquettes à neige |
|
Ski de fond |
|
Ski de fond |
|
Ski de fond |
A.R.V.A:
Appareil de recherche des victimes d’avalanche.
L’A.R.V.A a un radar qui sert a détecter ses semblables
L'A.R.V.A peut être émetteur et récepteur, c'est à
dire qu'il sert à la fois à rechercher les victimes à
et être recherché par les sauveteurs.
Voici le mode d'emploi de l'A.R.V.A:
1) Allumez l'appareil puis mettez la flèche sur 80m.
2) Quand le orange s'allume c'est que vous vous rapprochez de la victime.
3) Quand le rouge s'allume il faut diminuer le nombre de mètres;
c'est pour préciser la distance entre l'A.R.V.A et la victime.
4) Puis répéter la même opération jusqu'à
2-0m.
5) Quand vous êtes à 2-0m, déterminez là
où est la victime en regardant là où les lumière
diminue puis traces quatre lignes forment un périmètre rectangulaire.
6) Creuser dans le rectangle ainsi tracé.
Alexis, Sullivan, Thomas
Divers
Danses traditionnelles
Le vendredi soir, nous sommes
allés dans une salle pour danser des danses traditionnelles.
Exemples : Bourrée, Gigue... La musique était jouée
par un animateur (Marco) qui faisait de l'accordéon diatonique
(sol-do). Marco nous a raconté une histoire vraie.
C'est un petit garçon qui regardait
son père jouer de l'accordéon et le petit garçon
regardait ses mouvements. Le soir, après que sa grand-mère
soit couché, il prenait le chauffe-pied de sa grand-mère
et il refaisait les même mouvements que son père !
Un jour, il prit l'accordéon de
son père et fit les mêmes mouvements que son père.
Il arriva à faire les mêmes mélodies.
St-Flour
Quand nous sommes repartis
(pour revenir à St-Nazaire) nous nous sommes arrêtés
à Saint-Flour et nous sommes allés à sa cathédrale.
Nous avons remarqué que la cathédrale est très
grande par rapport à Saint-Flour.
Nous avons vu les reliques de Saint-Flour qui sont placées dans
la cathédrale. Puis nous sommes descendus (en bus) pour voir
la ville haute à partir de la ville basse.
Nolwenn, Bérangère, Audrey