mardi 24 mars 2015

Classe de neige à Coltines du 50 au 10 mars 2007

Le Village de Coltines

  







 
On est allé à la ferme. A la ferme il y a la soue à cochons, le pigeonnier, le toit en écailles de poissons, le coyau qui sert à protéger les gens pour qu'il ne leur tombe pas de la neige dessus.










Après on est allé voir le lou ferradou qui sert à ferrer les bœufs quand ils vont dans les montagnes pour la transhumance (c'est pour protéger leurs pattes).














 
Vers la fin, on est allé voir le four à pain ; son toit était en lauze, à l'intérieur du four c'était encore chaud et il y a longtemps, une fois par semaine les habitants du village allaient au four à pain faire chauffer leur pâte à pain.







  

   
A la fin, on est allé voir l'église et le cimetière. L'église était en pierre volcanique et elle était à moitié romane et gothique. 


"La vie coltidienne" 


En classe






Quand nous sommes arrivés à 13h45, nous avons vu que le centre s'appelait « Chantarisa », et qu'il y avait une autre classe qui venait de Saumur, d'une école privée nommée Sainte-Anne. Ils étaient en CM1/CM2. Les animateurs étaient très sympas ; ils s’appelaient Thierry, Marc, Jérôme et Sébastien. Les garçons étaient dans 3 chambres, 2 de 5, une de 4. Les filles étaient par chambres de 6 et de 7. Patrice était tout seul. Céline et Laëtitia (la maman de Nolwenn) étaient toutes les deux. 


Le repas




Le matin, le midi et le soir, on mangeait avec Sainte-Anne. Pour le goûter ont était seul. Le matin, on sortait se promener ou bien on allait en classe. L'après-midi on faisait du ski de fond ou des raquettes. Après, le soir avant de manger, on se douchait ou on allait en classe. Quand on avait fini, on avait du temps libre pour lire, jouer, les garçons et un peu de filles jouaient au baby-foot. Puis, on mangeait et on faisait les veillées. On s'endormait vers 21 h 30.
Marion, Théo, Elisa 


Volcanisme 









C'est sur une planèze que le village de Coltines a été construit. Le Stratovolcan du Cantal s’est fondé à partir de petits volcans et de coulées de lave. Après des millions d’années, la lave a durci et est devenue des roches volcaniques, formant des plateaux appelés « planèzes ».

 

Vaches salers




 

Les vaches de la région s’appellent les vaches salers, elles sont très dures à traire, il faut une façon particulière pour le faire : il faut attacher le veau à la patte de sa mère, et mettre du sel sur le cou du veau, pour que sa mère le lèche et ne s’occupe pas de nous. La vache salers a failli disparaître, mais elle a été reconvertie en vache à viande. L’élevage est la principale activité économique de la région.


L'ancien village de Coltines et sa légende


Nous sommes allés a l'ancien village de Coltines qui se trouve à environ un km du village actuel. Malheureusement il ne reste que des pierres empilées qui étaient autrefois des maisons. Jérôme et Thierry nous ont raconté la légende de Coltines. Nous étions divisés en deux groupes donc nous n'avons pas la même légende. Voici la légende de Thierry :

La Jeannette habitait avec ses parents et son frère. Elle allait bientôt se marier avec le Pierrot. Le jour du mariage la Jeannette dit oui mais Pierrot dit non car il avait vu une fille et était tombé sous son charme.
A la fin de la cérémonie la Jeannette partit. Son père lui dit : Moi je croyais que tu allais partir chez Pierrot, mais comme je n'ai plus d'argent pour nourrir tout le monde, alors il faut que tu partes. 


Elle partit. Beaucoup plus tard, Pierrot vit avec sa femme et la Jeannette rencontra quelqu'un. C'était une sorcière qui lui apprit des tours de magie. Un jour, la sorcière dit à la Jeannette qu'elle allait bientôt mourir. Alors elle lui donna un objet précieux : le bouffadou. C'est un bout de bois avec un trou à chaque bout. Quand la sorcière mourut, la Jeannette garda le bouffadou précieusement, et un jour elle eut une idée pour se venger. Elle arriva au village, souffla dans le bouffadou et elle contamina le village de la peste noire. La seule survivante fut la femme de pierrot. La Jeannette lui dit : si tu ne veux pas mourir de la peste noire, il faut que tu brûles tout sur ton passage. La Jeannette disparut sur le coup. Et la femme de Pierrot prit le bouffadou et souffla dedans, et mit le feu au village. Pour ne pas qu'elle ait la peste noire elle s'en alla , et personne ne la revit .

Après nous sommes rentrés à Chantarisa (notre centre).
Arthur, Anaïs, Cassandra

 Veillée nocturne 

Dessin Thierry Ballay




Le jeudi 8 mars à 21h00 nous avons fait une veillée nocturne. Il y avait deux groupes, un avec Marco et l'autre avec Sébastien.

Nous avons commencé par observer la grande ourse qui avait une forme de casserole et nous avons vu Orion.

Après nous sommes allés a l'église pour aller voir les chouettes chevêches et Marco faisait des bruits pour attirer des chouettes (sifflements).

En rentant nous avons vus clignoter les éoliennes. C'est pour que les avions ne les touchent pas.

Mathieu, Benjamin, Dorian, Kévin



Les sports de neige

 

"culing"
Luge 

Raquettes à neige

Raquettes à neige

Ski de fond

Ski de fond

Ski de fond

A.R.V.A:
Appareil de recherche des victimes d’avalanche.










L’A.R.V.A a un radar qui sert a détecter ses semblables

L'A.R.V.A peut être émetteur et récepteur, c'est à dire qu'il sert à la fois à rechercher les victimes à et être recherché par les sauveteurs.





Voici le mode d'emploi de l'A.R.V.A:

1) Allumez l'appareil puis mettez la flèche sur 80m.

2) Quand le orange s'allume c'est que vous vous rapprochez de la victime.

3) Quand le rouge s'allume il faut diminuer le nombre de mètres; c'est pour préciser la distance entre l'A.R.V.A et la victime.





 
4) Puis répéter la même opération jusqu'à 2-0m. 

5) Quand vous êtes à 2-0m, déterminez là où est la victime en regardant là où les lumière diminue puis traces quatre lignes forment un périmètre rectangulaire.

6) Creuser dans le rectangle ainsi tracé. 


Alexis, Sullivan, Thomas
  

 

Divers


 

 

 

 

 

Danses traditionnelles

Le vendredi soir, nous sommes allés dans une salle pour danser des danses traditionnelles. Exemples : Bourrée, Gigue... La musique était jouée par un animateur (Marco) qui faisait de l'accordéon diatonique (sol-do). Marco nous a raconté une histoire vraie.








C'est un petit garçon qui regardait son père jouer de l'accordéon et le petit garçon regardait ses mouvements. Le soir, après que sa grand-mère soit couché, il prenait le chauffe-pied de sa grand-mère et il refaisait les même mouvements que son père !










Un jour, il prit l'accordéon de son père et fit les mêmes mouvements que son père. Il arriva à faire les mêmes mélodies.

 







St-Flour

Quand nous sommes repartis (pour revenir à St-Nazaire) nous nous sommes arrêtés à Saint-Flour et nous sommes allés à sa cathédrale. Nous avons remarqué que la cathédrale est très grande par rapport à Saint-Flour.
Nous avons vu les reliques de Saint-Flour qui sont placées dans la cathédrale. Puis nous sommes descendus (en bus) pour voir la ville haute à partir de la ville basse.

Nolwenn, Bérangère, Audrey


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